Aujourd’hui responsable du centre de l’Ecole française d’Extrême-Orient à Chiangmai (Thaïlande), l’archéologue a travaillé pendant dix-huit ans à Angkor en s’intéressant notamment à l’occupation humaine et urbaine de ce site et à sa cartographie. Il y revient dans un entretien au « Monde ».
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Christophe Pottier, archéologue : « Angkor devait ressembler à un gros jardin »
